skip to Main Content
PAIX - UNION - DEVELOPPEMENT

Le climat est de type subéquatorial, généralement chaud et humide. Quatre saisons sont généralement différenciées :

– Une grande saison sèche de décembre à mars ;

– Une grande saison des pluies d’avril à juillet ;

– Une petite saison sèche d’août à septembre ;

– Une petite saison des pluies d’octobre à novembre.

Ce qui favorise une pluviométrie abondante donnant une végétation propice à l’agriculture comme le riz, le maïs, le manioc ainsi que les cultures de rente telles que le café et le cacao.

La région présente d’immenses plaines, de nombreux et larges bas-fonds et des collines. L’altitude moyenne est de 300 m et la végétation est de type forestier dense et humide.

La région dispose d’aires protégées dont les plus importantes sont :

– Forêt classée du GOIN-DEBE (133 170 ha) ;

– Forêt classée du CAVALLY (64 200 ha) ;

– Forêt classée du SCIO (88 000 ha) ;

– Forêt classée SANTE ;

– Ainsi que le Parc National de TAI (3500km2) qui est la réserve la plus protégée.

L’hydrographie est composée du fleuve Cavally et des rivières : N’ZO, DOUI, NIKLA, GOIN, SCIO, DEBE, ZE.

Les activités économiques s’étendent à l’élevage qui enregistre plus de 50 promoteurs de bovins. Les eaux des fleuves N’Zo et Cavally sont exploitées par 300 pêcheurs « bozos » maliens et une quarantaine de promoteurs ivoiriens.

La région dispose d’un riche potentiel minier avec des indices de cobalt, Nikel or et diamant. Il y’a jusqu’à ce jour trois permis de recherche d’or accordés

Au titre des faiblesses, nous pouvons identifier :

– Le mauvais état des voies de communication pour la circulation des produits agricole, notamment l’axe Guiglo-Tai, qui à ce jour reste impraticable en saison pluvieuse ;

– Techniques agricoles archaïques et inadaptées ;

– Main d’œuvre agricole peu qualifiée ;

– Pratique de pêche traditionnelle ;

– Pas de conservation ou de transformation de la production agricole,

– Pauvreté des paysans ;

– Baisse de la fertilité des sols ;

– Accès à l’eau difficile en zone rurale et urbaine ;

– Pas de gestion organisée des terres (plan d’occupation des sols) ;

– Inexistence de crédit agricole ;

– Absence de structures de stockage des produits agricoles ;

– Absence d’identification des terres rurales ;

– Spéculation foncière.

Back To Top